Les deux sites de Reims et celui de Charleville, exploités jusqu’ici, directement par le constructeur, ont été repris par le Groupe Bernard. Le nouveau pôle « Citroën Reims-Charleville» sera piloté par Etienne Copinet, l’actuel directeur de Citroën Reims. Interview.
Nouvel épisode de la stratégie de Citroën qui poursuit son désengagement amorcé en 2011 et qui se sépare les unes après les autres de ses succursales, cédées à des groupes indépendants. Le groupe Bernard, 2e groupe de distribution automobile français, a repris ce mardi 1er juillet les sites de Reims et Charleville. Concentré sur les régions Rhône-Alpes, Bourgogne et Franche-Comté, le groupe étend ainsi son territoire.
Que représente le nouveau pôle du Groupe Bernard que vous dirigez ?
Le nouveau pôle comprend en fait trois sites : Reims-Tinqueux, Reims-Thillois et Charleville. Au total, le volume d’affaires du pôle représente 3 000 véhicules neufs et autant en véhicules d’occasion. Nous employons 145 collaborateurs.
Au-delà de ces trois sites, envisagez-vous d’en intégrer de nouveaux sur la même région ?
Nous étudierons toutes les opportunités qui se présenteront
Changez-vous de stratégie sur le site de Croix-Blandin à Reims ?
Clairement, sur ce dossier, l’incertitude est désormais levée. Nous irons à Croix-Blandin. Nous travaillons actuellement sur le dimensionnement du site. Ce mois-ci, l’architecte sera choisi et l’ouverture est prévue au 4ème trimestre 2016.
Abandonnez-vous le site de Tinqueux ?
Nous quitterons effectivement Tinqueux mais nous restons présents à l’ouest de l’agglomération de Reims avec le site de Thillois que nous avions ouvert dans cette perspective d’évolution. Nous assurons aussi la présence de la marque par notre réseau d’agents.
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