le Foyer Rémois a 100 ans

Chemin-Vert-ReimsChemin Vert Reims-Foyer Rémois

Reims – C’est 1912 que Georges Charbonneaux fonde la société anonyme d’Habitations à Bon Marché, le Foyer Rémois. Le véritable essor vient après la guerre, avec la cité jardin du Chemin Vert. Dès cette date, les acteurs du Foyer Rémois s’engagent dans des réalisations exemplaires, pour l’époque et pour aujourd’hui.

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Chemin Vert Reims-Foyer Rémois

Grand prix d’architecture de Rome, pour les logements du quartier Wilson, premier immeuble collectif passif dans l’habitat social, La Clairière, point d’orgue de l’innovante cité jardin Les Aquarelles, au cœur d’un partage, national ou européen,  d’échanges d’idées, comme Delphis ou Eurhonet, le Foyer Rémois est le première entreprise champardenaise certifiée pour la qualité de son service client et le premier opérateur du renouvellement urbain à Reims.

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Benoit Pellot. Président du Conseil de Surveillance-Foyer Rémois

Benoit PELLOT, Président du Conseil de Surveillance

 Notre modernité dure depuis 100 ans

« Rappelons, à propos de cet anniversaire, que le Foyer Rémois est le plus ancien bailleur social de Reims. Nous en sommes, aujourd’hui, à plus de 17 000 logements et notre développement se poursuit. Les projets se multiplient. On peut donc fêter ce centenaire avec, hier, aujourd’hui et demain, une dynamique certaine.

J’ajoute que, si  loger est notre mission première, nous sommes depuis toujours à la pointe de l’innovation : loger dans un ensemble habitat environnement répondant à des critères de mieux vivre. Ce fut symboliquement le cas avec, à quatre-vingt ans de distance, les deux cités jardins du Chemin Vert et du Petit Bétheny. Depuis, nous en sommes à la conception d’éco quartiers et aux bâtiments passifs, comme celui de La Clairière.

Nous sommes des créateurs de sociabilité, de plus en plus impliqués dans le maillon idéal : habiter, vivre et se déplacer, dedans et dehors, dans la meilleure proximité de services et de commerces, dans des espaces de vie pensés, portés par le respect de l’environnement qui est une exigence première. Cent ans de modernité n’est pas qu’un slogan mais un constat et une volonté de poursuivre en ce sens ».

CHRISTOPHE VILLERS, Président du Directoire

Bien au-delà de la perspective 2020

villers-510-200« L’exigence d’un siècle d’activité ? Avoir traversé deux guerres mondiales, la crise de 1929, les trente glorieuses … Avoir su acquérir une certaine maturité dans le métier de logeur et dans la gouvernance de ce métier. C’est aussi  avoir l’occasion, aujourd’hui, d’affirmer l’entreprise Foyer Rémois, c’est-à-dire l’employeur d’un millier de salariés annuellement, en emplois directs et induits par nos métiers de constructeur et de gestionnaire d’un parc de plus de 17 000 logements.

Nous sommes une entreprise privée, même si nous portons une attention toute particulière à l’intérêt général de faire habiter le plus grand nombre possible et dans les meilleures conditions possibles. Notre action publique est assise sur les exigences de la pérennité et du développement d’une structure privée.

On a longtemps parlé, à notre égard, de notre fonction de bailleur social. Aujourd’hui, nous nous positionnons en tant qu’aménageur et acteur du devenir urbain. Ce qui nous importe, à présent, c’est l’innovation et l’exemplarité en matière d’habitat et d’aménagement du territoire. A ce sujet, Reims est largement citée, au niveau national, dans la réussite de ses programmes, dans la locatif comme dans l’accession à la propriété.

L’avenir est à la métropolisation, à l’accompagnement d’un territoire comme celui du G10, riche d’au moins 700 000 habitants. Nous  nous inscrivons pleinement dans cette tendance, bien au-delà d’une perspective 2020, déjà dépassée. Pour y parvenir, nous privilégions la simple notion de bien-être, dans son logement, dans son quartier, dans sa ville et dans la métropole, à partir de la qualité de nos réalisations et du contexte dans lequel elles s’inscrivent.

Le bien-être de ceux qui habitent nos constructions, voilà notre ambition basique, après avoir promu des exigences telle que la performance énergétique, conçue aujourd’hui comme un minima en matière de logement. Nous avons cent ans et le deuxième siècle que nous abordons sera encore plus novateur, d’une manière ou d’une autre, avec notre histoire formidable et ses pionniers. Je pense ici, évidemment, au grand Monsieur que fut Georges Charbonneaux, fondateur du Foyer Rémois ».

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