Guy Brabant, Président du Foyer Rémois

Guy Brabant est le 9e Président du Conseil de surveillance du Foyer Rémois, l’organisme logeur pour qui, depuis sa création, « être bien logé, c’est aussi bien vivre » et qui place la modernité au rang de ses priorités.

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Passage de témoin, son prédécesseur, Benoit Pellot confirme cette essence de l’entreprise : « Depuis l’origine, depuis la création en 1912 par Georges Charbonneaux, ce sont des patrons qui se sont succédé à la tête de l’entreprise. Pour les chefs d’entreprise, il est essentiel que les salariés soient logés et bien logés. Cette priorité demeure, même si le logement est devenu un droit. Notre mission n’a pas beaucoup évolué : construire dans les meilleures conditions et satisfaire nos locataires ».

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Être Président du Foyer Rémois signifi e quoi ? « Prévoir l’avenir, précise Benoit Pellot. La construction du nouveau siège, le rapprochement avec Vilogia qui ouvre des perspectives de développement sur le Grand Est, la création d’I-mmocoop avec Reims habitat, l’opération ANRU 1, une rénovation de l’habitat de 180 millions d’euros sur Orgeval et Croix-Rouge… Tout ceci est du passé récent qui permet l’avenir ».

 LE MÉTIER DE PRÉSIDENT

Élu par son Conseil de surveillance, Guy Brabant, le nouveau Président précise la vision de son mandat : « Président, c’est aussi un métier. Membre du Conseil de surveillance, depuis plusieurs années, je connais donc Le Foyer Rémois. Quand on vient de l’entreprise, la mécanique économique d’un organisme logeur ne nous est pas tout à fait étrangère même s’il y a beaucoup à apprendre. Le logement des salariés, de tout temps, était la préoccupation des chefs d’entreprise, mais la nouveauté introduite par Georges Chabonneaux réside dans le fait que les salariés n’habitent plus obligatoirement au voisinage du lieu de travail. Notre avenir est dans le Pays Rémois et dans tout le Grand Est ».

Le Président dispose d’une certaine longévité au service d’une grande collaboration avec la direction de l’organisme et son professionnalisme et c’est vraiment le cas au Foyer Rémois. Être Président aujourd’hui, c’est devoir s’adapter à son temps. « À nous d’être aussi performants, A nous de construire et d’aménager un cadre qui sera encore exemplaire dans un siècle ».

 

PORTER LES CONVICTIONS DE L’ÉQUIPE

La fermeté des propos, habillée d’un sourire quasi permanent qui en fait sa marque, Guy Brabant mesure les exigences de cette exemplarité voulue : « Il nous faut prendre en compte les contraintes économiques contemporaines. L’habitat de demain, c’est notre métier, les exigences de nos locataires notre fil conducteur.

Nous n’avons pas le droit à la facilité, pas le droit non plus de ne pas respecter l’équilibre de l’occupation des sols et je pense ici au développement rural ».

Plus que jamais, le bailleur se veut à l’écoute des besoins, de l mobilité professionnelle et de l’évolution des structures familiales, en ne négligeant pas le manque de petits logements. « Cette conception, souligne Guy Brabant, est celle de tous les collaborateurs du Foyer Rémois ».

 

DE L’OUVRAGE EN PERSPECTIVE

Benoit Pellot a vécu les grandes heures de l’ANRU 1, il passe la main au seuil d’un grand projet immédiat : « À Guy Brabant, à présent, d’orchestrer le plan de l’ANRU 2 (Plan National de Rénovation Urbaine), avec la rénovation du patrimoine du Foyer Rémois dans le quartier de l’Europe. Le nouveau Président a du temps devant lui, une bonne dizaine d’années, vraisemblablement ».

À 66 ans, le jeune Président entre dans une nouvelle vie qui n’est pas sans lui rappeler son engagement dans l’entreprise familiale, dès l’âge de 24 ans et son parcours de plus de quarante ans à la tête de Charbonneaux-Brabant, avec ce bon sens contagieux : « Qui n’avance pas recule ». Le Foyer Rémois (19 000 logements dans le

Grand Est, dont 13 000 dans l’agglomération de Reims) va donc encore grandir, avec un homme qui possède au moins deux choses : les valeurs de l’éducation du côté de Saint-Joseph (même s’il vient de Lille) et la bonne manière d’entreprendre du côté du Centre des Jeunes Dirigeants. Deux choses… Et bien d’autres à transmettre

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