Une nouveau lieu secret dans le centre-ville de Reims…

Dans le passage Talleyrand, DP GALLERY dévoile sa galerie secrète à l’occasion d’une exposition  signée LGM-1

Illustrateur rémois, Julien Maillot met en lumière bâtiments et quartiers emblématiques de Reims avec des illustrations décalées aux accents futuristes. Combinant éducation architecturale et création artistique, cet ancien architecte de métier réalise désormais des œuvres entièrement numériques, capturant les émotions émanant de ces lieux de vie pour en figer une interprétation. “C’est un savant mélange entre des technqiues digitales et de la pure création” nous explique Matthias Philippe qui dirige DP Gallery. Son voyage en Asie, il y a quelques années, fut à la fois pour Julien Maillot “introspectif et introductif à son oeuvre et à son processus créatif“.  A son retour l’architecte devient artiste professionnel. “Intro”, c’est justement le nom de cette exposition qui nous emmène dans les pas de l’artiste et nous fait voyager avec lui dans six pays asiatiques. LGM-1 nous livre, dans son style fait de la confrontation énergique d’univers multiples et de temporalités différentes, une vision personnelle de l’Extrême Orient. C’est son projet le plus ambitieux, sa première très grosse exposition et elle est à découvrir au coeur de Reims, passage Talleyrand.

Chaque samedi durant l’exposition jusqu’au 12 novembre, LGM-1 partagera ses expériences de voyage et autres anecdotes dans lesquelles il est venu puiser son inspiration pour la réalisation des œuvres de l’exposition.  Vous pourrez profiter de l’occasion pour échanger avec lui et en apprendre un peu plus sur son processus créatif et les techniques utilisées. Ce sera aussi l’occasion de découvrir un nouveau “lieu secret” au sein de la galerie.

 

Quelle est l’origine du nom  LGM-1 ?

LGM-1 est le nom de code donné par les radioastronomes Jocelyn Bell et Antony Hewish au premier signal effectivement identifié d’un pulsar, en 1967. À l’époque de la détection de ce signal, Bell et Hewish ignoraient quelle pouvait être la nature exacte de ce signal, dont l’extrême régularité évoquait un possible signal de nature extra-terrestre. Pour cette raison, le signal fut appelé un temps sous le nom de code de LGM-1, sigle de Little Green Men-1, (litt. « Petits hommes verts-1 »).  À la suite de la publication de l’annonce de la découverte de ce signal dans la revue scientifique Nature en 1968, il fut rapidement établi que ce signal n’était pas issu d’une civilisation extraterrestre avancée, mais dû à la rotation rapide d’une étoile à neutrons, c’est-à-dire un pulsar qui fut dans un premier temps nommé CP 1919 puis PSR B1919+21. Cependant, l’anecdote relative au choix du nom de code LGM-1 resta dans les mémoires.

Photo @refletsactuels.fr

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