L’Évêché: un polar pour l’été signé par un rémois

En cette période estivale, il est de tradition d’emporter un bon “polar”… En voici un qui a la particularité d’être signé par un Rémois et dont le personnage principal exerce, au moins au début du roman, son métier au sein de la Police à Reims. Le roman est disponible chez Privat-Guerlin.

refletsactuels.fr/wp-content/uploads/2010/07/polar0710-373x146.jpg 373w" sizes="(max-width: 510px) 100vw, 510px" />L’auteur, Bernard Cornuaille, habite en Champagne. Il a signé son premier roman « LE PROJET ATICA » en janvier 2008 aux Editions Persée. Pour écrire son second ouvrage, l’auteur a longuement étudié le comportement des tueurs en série. Sujet, décidemment de prédilection dans notre région ! Bernard Cornuaille  anime, d’ailleurs,  des conférences sur ce thème : « Y a-t-il recrudescence des serial killers ? ».

Voici, en avant-première pour refletsactuels.fr,  le “pitch” de ce polar qui commence, en terre champenoise pour se finir dans le haut lieu de la P.J marseillaise qu’est  “l’ Evêché”.

“L’action démarre, en janvier 839, dans une communauté de moines bénédictins. Harangués, par un moine déchu, adorateur de Satan, les villageois envahissent l’abbaye… Huit moines sont assassinés, la tête tranchée. Une des victimes, Alberto, un moine guerrier, lance, avant de mourir, une terrible malédiction…

Retour au siècle actuel. Le commissaire divisionnaire Tony Lanvin, patron du SRPJ de Reims, est confronté à une série de crimes horribles, perpétrés suivant un rituel morbide. Quatre jeunes femmes vont être assassinées. Leurs dépouilles seront retrouvées la tête tranchée.

Le commissaire divisionnaire Tony Lanvin, chargé de l’enquête, ne dort plus : les  médias, les élus, mais également le juge Valentin le relancent continuellement, la pression devient insupportable. La détermination, de Tony Lanvin et de son équipe, va enfin être récompensée. Un homme était en contact avec les différentes victimes. Il est prouvé qu’il a rencontré les jeunes femmes peu de temps avant leur disparition. Or cet homme, qui nie farouchement toute implication dans ces crimes, est l’époux du capitaine de police judiciaire Eva Broskovick, proche collaboratrice du commissaire Lanvin.

Une incroyable accumulation de présomptions conduit Alain Broskovick devant la justice. Un procès d’Assises met en évidence l’ensemble de ces présomptions. Le jury délibère et condamne le prévenu à vingt ans de réclusion criminelle. Eva demande le divorce et reprend son nom de jeune fille : Lescure. Peu de temps après, elle est, à sa demande, mutée au SRPJ de Marseille, rue de l’Evêché, (titre du livre) avec le grade de commandant.

Immédiatement, elle est confrontée à une série d’enlèvements de prostituées. Une exception, la dernière, celle-ci est psychiatre et étudie le comportement des serial killers : le docteur Sally Grenn.

Alain Broskovick s’évade de la prison de Reims, avec une complicité extérieure. Peu de temps après, trois cadavres de jeunes femmes sont retrouvés dans la région de Reims, suivant le rituel morbide habituel : la tête tranchée.

L’affaire prend une tournure médiatique sans précédent. La police est vilipendée.

Le commandant Eva Lescure ne peut croire à la culpabilité de son ex-mari.

Le serial killer, ne doutant pas de son invulnérabilité, conviction courante chez ce genre de psychopathe, envoie un courrier au commissaire Tony Lanvin, lui annonçant qu’après le huitième sacrifice, sa mission sera terminée. Or, lorsqu’il évoque le huitième sacrifice, c’est de Sally qu’il s’agit.

Eva se lie d’amitié avec, le capitaine Charlotte Batestti et les parents de celle-ci, notamment son père, le commissaire retraité Charles Batestti.

Charles, qui a la nostalgie du « bon vieux temps », n’hésite pas à conseiller, avec certes, beaucoup de doigté, Eva et Charlotte.

Persuadé que le serial killer se cache dans les calanques, entre Marseille et Cassis, il se lance, seul, dans une expédition dangereuse. Mais la chance est avec lui et il découvre la grotte où est séquestrée Sally.

L’horreur est à son comble, lorsque la police retrouve dans la grotte, les ossements de vingt-deux personnes. Les analyses détermineront que ce sont les restes de vingt-deux jeunes femmes disparues dans la région, entre 1990 et 1997.

Le tueur est cerné, il s’agit de Max Malbourg alias Henri Bardot. Il s’échappe en 4×4 et prend la direction de Cassis, mais rapidement, il est repéré par un hélicoptère de la gendarmerie, au bord duquel se trouvent le commandant Eva Lescure et le capitaine Charlotte Batestti.

Acculé, le serial killer s’engage sur la très dangereuse route des crêtes. Dans un virage, le véhicule dévie de sa trajectoire, c’est l’accident. En arrivant au fond du ravin le 4×4 explose et prend feu.

Stupeur ! Les tests ADN, effectués sur le corps carbonisé, retrouvé dans le 4×4, précisent qu’il s’agit de : Alain Broskovick et non Max Malbourg.

Le serial killer s’est, de nouveau, échappé !”

Bons frissons et bonne lecture !

1 Commentaire(s) a propos du sujet: "L’Évêché: un polar pour l’été signé par un rémois"

  1. dites voir!

    vous n’auriez pas raconté toute l’histoire par hasard ?

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