Le titre de ce sujet pourrait passer pour une provocation à l’heure ou le climat social dans les Transports en commun de Reims est plutôt tendu. Il n’en est rien …
refletsactuels.fr/wp-content/uploads/2011/10/HEADER510_cr200-373x146.jpg 373w" sizes="(max-width: 510px) 100vw, 510px" />Le Blues du Tram est, en fait, le dernier ouvrage de Gisèle Bienne. Gisèle Bienne vit à Reims. D’abord professeur de lettres puis peintre, elle s’est tournée ensuite vers la littérature. Elle a publié une douzaine de romans et obtenu deux prix littéraires. Elle collabore à diverses revues. Elle écrit pour les adultes mais aussi pour les jeunes, les adolescents qu’elle rencontre dans les collèges et les lycées.
Si de nombreux auteurs ont écrit sur le train, rares sont ceux qui ont accordé au tramway un livre entier. C’est ce que fait Gisèle Bienne dans Le blues du tram. Les rails de la rue ont récemment retrouvé droit de cité. Plusieurs villes, dont Reims, ont vu leur paysage se modifier avec l’arrivée du tramway entre leurs murs. C’est à un double voyage que nous invite Gisèle Bienne dans ces pages au rythme scandé, tel un morceau de musique ou une chanson de tous les temps. Voyage dans sa ville – son centre, ses quartiers, ses places, ses parcs, ses gares, ses cafés – mais aussi voyage dans la littérature qui ne connaît pas de frontière, en compagnie d’écrivains comme Kafka, Cendrars, Céline, Döblin, Tennessee Williams, Fitzgerald, Colette, Svevo, Camus, Claude Simon…
Le blues du tram paraît aux éditions Chatelet-Voltaire, toutes récentes en Champagne-Ardenne et installées à Cirey-sur-Blaise en Haute-Marne.
Gisèle Bienne donnera une conférence sur ses deux derniers livres, Le blues du tram et Katherine Mansfield dans la lumière du Sud, paru chez Actes Sud, et s’entretiendra avec ses lecteurs le mardi 22 novembre à la bibliothèque Carnegie, à 18 heures 30, dans le cadre des soirées « Au fil des pages… »
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